On enchaîne les tâches, les projets, les réunions. On veut bien faire, tout faire, ne pas décevoir. Et puis un jour, le corps ou l’esprit dit stop. Mais pourquoi attendre d’en arriver là ?Apprendre à se dire stop, c’est une compétence professionnelle. C’est choisir de s’écouter avant de craquer. C’est savoir poser ses limites, sans culpabilité. Et ce n’est pas un aveu de faiblesse. C’est un acte de responsabilité.
Le trop-plein ne prévient pas toujours avec des signaux forts. Souvent, ce sont des détails qui s’accumulent :
Dire stop, ce n’est pas dire non au travail. C’est dire oui à son équilibre. Cela peut prendre plusieurs formes :
Le meilleur moyen de ne pas craquer, c’est d’intégrer des temps de régénération en continu :
Se dire stop, ce n’est pas sortir du jeu. C’est y rester, avec lucidité et respect de soi. Et dans un monde qui va vite, savoir s’arrêter est parfois le geste le plus stratégique.
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