đź‘€Rester curieux(se) mĂŞme dans la routine

La curiosité n’est pas réservée aux explorateurs ou aux créatifs. C’est un moteur puissant de motivation, de progression et d’épanouissement au travail. Et pourtant… avec les habitudes, les process, les automatismes, elle peut s’endormir. La routine grignote l’élan.

Bonne nouvelle : la curiosité n’est pas une flamme qu’on perd. C’est une posture qu’on peut réactiver. Même dans un quotidien très balisé, il est possible de rester en mouvement intérieur, d’ouvrir de nouvelles fenêtres mentales.

🔍 Changer de regard sur l’ordinaire

La clé, ce n’est pas de tout changer. C’est d’observer différemment. Par exemple :

  • Que puis-je apprendre aujourd’hui, mĂŞme dans une tâche rĂ©pĂ©titive ?
  • Quelles questions n’ai-je jamais posĂ©es Ă  mes collègues ?
  • Et si je testais une autre manière de faire ce que je fais depuis des annĂ©es ?

La curiosité commence souvent par un petit pas de côté dans sa manière de voir.

📚 S’autoriser à explorer, même brièvement

Lire un article, écouter un podcast, suivre un collègue sur un projet connexe…
Pas besoin de consacrer des heures à l’apprentissage pour nourrir sa curiosité. Quelques minutes par semaine suffisent pour semer des graines d’intérêt. Et cela peut déclencher des idées nouvelles, des envies, voire des évolutions de carrière inattendues.

🔄 Relier routine et sens

L’un des plus grands tueurs de curiosité, c’est le sentiment d’inutilité. Pour raviver l’intérêt, reconnectez votre quotidien à une finalité :

  • Ă€ qui cela sert ?
  • En quoi est-ce utile ?
  • Qu’est-ce que cela me fait dĂ©velopper, mĂŞme discrètement ?

Quand on remet du sens, on remet souvent du mouvement. Et la curiosité renaît naturellement.

🔚 En conclusion

Rester curieux·se dans la routine, ce n’est pas tout bousculer. C’est entretenir en soi une posture d’ouverture. Parce qu’apprendre, questionner, tester, c’est ce qui rend le travail vivant. Même après 10 ans dans le même bureau.

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