

Recevoir un feedback, ce n’est pas toujours confortable. Mais bien utilisé, c’est l’un des leviers les plus puissants pour progresser.
Encore faut-il sortir de deux pièges fréquents : le rejet défensif (« il se trompe ») ou l’absorption brutale (« je ne vaux rien »). Transformer un retour en réel levier de croissance demande une posture, une méthode… et un peu de pratique.
La première étape : accueillir. Même si le feedback surprend, agace ou déstabilise, résister à la tentation de se défendre immédiatement est essentiel.
Écouter jusqu’au bout, poser des questions, reformuler : cela permet d’éviter les malentendus et de montrer que vous êtes prêt(e) à considérer ce qui est dit.
Tout feedback ne mène pas à une action. Parfois, on prend note. D’autres fois, on décide de tester un ajustement. Et dans certains cas, on choisit de ne pas donner suite — mais en conscience.
Le plus important : garder la main. Faire du feedback un outil, pas une sentence.
Transformer un feedback en levier, c’est choisir la posture de l’apprentissage. Ce n’est pas toujours confortable. Mais c’est une posture puissante — pour progresser, grandir, et mieux se connaître au passage.
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