Dire non est souvent inconfortable. Par peur de décevoir, de passer pour rigide ou de louper une opportunité, on finit par tout accepter. Résultat : surcharge, frustration, perte de sens.
Et si la solution ne consistait pas seulement à dire non… mais à définir d’abord ce qui est non-négociable ? Car pour poser ses limites avec clarté et confiance, il faut d’abord savoir ce qui compte vraiment.
Les non-négociables ne sont pas des règles rigides. Ce sont des repères personnels qui vous aident à rester aligné :
Notez-les noir sur blanc. Cela clarifie vos choix… et vos refus.
Face à une demande, posez-vous trois questions simples :
Cette grille de lecture vous permet de sortir du réflexe automatique, et de poser un non solide, assumé, constructif.
Un non clair est souvent mieux accueilli qu’un oui flou ou un refus ambigu. Vous pouvez dire non tout en restant relationnel :
Le ton, l’intention et l’authenticité font toute la différence.
Définir ses non-négociables, ce n’est pas s’enfermer. C’est se donner un cadre clair pour faire des choix lucides, et retrouver de l’espace pour ce qui compte vraiment. Dire non, c’est aussi se dire oui.