Et si l’échec n’était pas la fin d’un parcours… mais le début d’un apprentissage plus profond ?
Dans la culture professionnelle française, l’échec reste souvent tabou.
Mais les organisations les plus innovantes savent que les erreurs bien analysées valent parfois plus qu’une réussite superficielle.
👉 À condition de savoir les accueillir, les comprendre… et en tirer des enseignements.
Parce qu’il :
✅ Met en lumière ce qu’on ne voyait pas
✅ Oblige à revoir ses stratégies
✅ Renforce la résilience
✅ Développe l’humilité
✅ Libère l’expérimentation
💡 Ce qu’on appelle “échec” est souvent un test qui n’a pas (encore) donné le bon résultat.
Une culture de la perfection ou du blâme
Une peur du regard des autres
Des systèmes qui valorisent seulement les résultats
Une absence de droit à l’essai
🎯 Résultat : des collaborateurs qui n’osent plus tenter, innover, sortir du cadre.
“Qu’est-ce que tu as tenté ? Qu’est-ce que tu en tires ?”
Par : “Qu’est-ce qu’on peut ajuster ?”
Inclure l’expérimentation dans les indicateurs
Créer des “retours d’expérience”, même sur les projets non aboutis
Parler de ses propres erreurs… et de ce qu’elles ont permis
Apprendre = Tester ➡️ Échouer (parfois) ➡️ Ajuster ➡️ Recommencer ➡️ Progresser
Ce qu’on appelle “échec” peut devenir un levier d’innovation, de compétence, de maturité.
👉 À condition de passer du mode “sanction” au mode “transformation”.